La structuration de la filière vitivinicole autour des données
La structuration de la filière vitivinicole autour des données Les acteurs de cette filière sont confrontés à une forte hétérogénéité des données et à une multitude de sources, pas ou difficilement accessibles. L’accès aux données et leur circulation sécurisée est un enjeu majeur pour la compétivité de la filière et s’avère primordial pour consolider les […]
L’accès aux données agricoles pour des services innovants
En prévision de la prochaine campagne, une coopérative souhaite accéder aux pratiques agricoles de ses adhérents via l’outil de gestion parcellaire (FMIS MesParcelles) pour alimenter ses services numériques de conseil technique auprès des agriculteurs. Il s’agit d’un outil qui permet à l’agriculteur de moduler ses intrants et de simuler ses rendements en fonction de son choix d’itinéraires techniques.
Une alimentation bovine encore mieux adaptée
Un fabricant d’aliments pour animaux souhaite optimiser sa chaîne d’approvisionnement en accédant à des données sur les caractéristiques et les besoins nutritionnels des bovins. Ces données sont essentielles pour développer des formulations d’aliments adaptées à différentes phases de croissance des animaux. Cependant, l’industriel rencontre des difficultés pour accéder à ces données, car elles sont dispersées entre différentes sources et ne sont pas toujours disponibles en temps opportun.
La réduction de l’empreinte carbone au sein d’un industriel agroalimentaire
Un industriel fabriquant des biscuits veut réduire l’empreinte carbone de son usine de production et améliorer la traçabilité de ses produits. Conscient de l’urgence climatique et des attentes croissantes des consommateurs, l’industriel souhaite adopter des pratiques plus durables
et mettre en place un système de suivi de ses approvisionnements en matières premières pour respecter le nouveau cadre réglementaire imposée par la Directive CSRD.
L’interopérabilité des données de pulvérisation
Des acteurs du machinisme agricole travaillent
à l’élaboration d’un référentiel commun de données afin de les rendre interopérables, pour les différents objectifs de performance économique et environnementale de l’exploitation agricole et de ses partenaires, dans le contexte de l’application des nouveaux règlements européens imposant la portabilité et l’interopérabilité des données entre les machinistes et les agriculteurs (utilisateurs finaux).
La traçabilité du soja français
Les membres de l’interprofession des oléo-protéagineux (Terres Univia) veulent valoriser les pratiques durables de la filière soja française et améliorer la traçabilité des produits, du champ à
la consommation pour l’alimentation humaine ou animale. Pour atteindre ces objectifs d’une meilleure transparence dans la filière, il faut rendre accessibles plusieurs offres de données provenant de différentes sources au sein des maillons de la filière.
Les données au service des objectifs RSE
Une coopérative laitière travaille avec plusieurs sources de données hétérogènes en provenance d’acteurs internes et externes. Ces données
sont destinées à être utilisées pour répondre aux exigences métiers liées à la RSE et aux demandes de ses clients aval. Cette coopérative souhaite être accompagnée pour identifer les données dont elle a besoin, structurer ses flux d’informations avec ses partenaires historiques et organiser sa gouvernance data.
L’optimisation de la logistique dans la filière céréalière
Les différents acteurs de la filière céréalière veulent améliorer les performances économiques et environnementales de leur logistique, aujourd’hui peu optimisée (retours à vide, gestion du vrac, etc.).
Ces acteurs ont saisi l’intérêt de travailler ensemble en mutualisant leurs échanges de données au sein d’un groupe privé sur la plateforme d’intermédiation, alimentant ainsi
de manière neutre et sécurisée une application de traitement et d’intelligence artificielle dédiée
à la logistique, dans le respect de leurs enjeux concurrentiels.
L’industrialisation du calcul des indicateurs de durabilité
Un industriel agroalimentaire souhaite intégrer des flux de données provenant d’acteurs différents pour calculer ses indicateurs dans la perspective de traçabilité des matières premières qu’il achète. La structuration de ces flux lui permet aussi de répondre à ses engagements SBTI en matière de réduction d’émission de gaz à effet de serre et de valoriser ses démarches de durabilité auprès de ses acheteurs aval.